menuclose
HelloMoi, c'est Fanny

Née en 1990 dans le Nord, du côté de Lille, j'ai grandi dans un petit village flamand, Godewaersvelde, pendant une vingtaine d'années. J'ai donc passée toute mon enfance et adolescence dans la campagne bien loin de l'effervescence de la grande ville. La nature a toujours pris une part importante de mon environnement et dès le plus jeune âge, c'est au milieu de celle-ci que j'arrivais à m'apaiser et trouver une certaine sérénité. J'ai toujours eu une sensibilité assez développée, un côté introverti et beaucoup de mal à m'exprimer. Mais à côté de ça, très tôt, j'ai développé des capacités presque naturelles pour le dessin ou la photographie et une capacité à apprendre et mémoriser les choses rapidement. A 12 ans, je développais moi même mes premières photos dans une chambre noire.

Après un bac Scientifique que j'ai fait car je n'avais aucune idée vers où je voulais me diriger, j'ai commencé un DEUST de Guide Nature Multilingue. J'ai eu mon diplôme et suis devenue éducatrice à l'environnement.

Lors d'un de mes boulots saisonniers, j'ai rencontré mon conjoint avec qui je me suis installée à Lille. Wahou! Quel changement la ville! Les expos, les maisons folies, les terrasses, les concerts, la street food, les bars etc..

Les années ont passées, les boulots et appartements aussi, puis me voilà enceinte de mon premier petit gars et bientôt du deuxième.

J'ai arrêté de travailler pour passer du temps avec eux. Et tout simplement parce que l'idée de les laisser pour aller travailler m'était insupportable à ce moment là. Avec l'arrivée de mes enfants, l'envie de sortir mon appareil photo est revenue. J'avais ce besoin de garder une trace de chaque moment de leur vie, ce besoin de mettre sur image ces souvenirs que j'avais si peur d'oublier. Ces besoins et cette envie d'immortaliser notre quotidien et les étapes importantes de notre vie n'a fait que grandir, grandir. A côté de ça, j'ai appris à maîtriser de mieux en mieux mon appareil, je me suis formée, j'ai fait des recherches pour essayer de toujours faire mieux.

Ma mère et mon conjoint m'ont soufflé (très fort) l'idée de devenir photographe. L'idée a muri et s'est accrue de plus en plus.

Avril 2018. La vie nous mène ailleurs. Mon homme a trouvé un travail dans une autre région. On souhaitait une vie plus à la campagne, un environnement plus vert. C'était l'occasion.

Avril 2018. 12 jours après notre arrivée en Poitou-Charentes, mon entreprise voit le jour. Je suis officiellement photographe.

Aujourd'hui, mon entreprise a fêté ses quatre ans, j'ai eu un troisième merveilleux garçon et nous avons décidé de devenir propriétaire. Nous construisons notre vie, préparons notre et leurs avenirs ici à Civray dans le Sud Vienne.

J'aime

Le crépitement du feu, marcher pieds nus dans l'herbe, boire une bonne bière, entendre les rires, lire (quand je prends le temps de le faire), les balades en forêt, trainer au lit, regarder le lave-linge tourner, écouter les oiseaux, les ginkgos, les matins un peu brumeux, observer les gens heureux. J'aime leurs odeurs. J'aime aimer et être aimer. J'aime la gentillesse et la bienveillance. J'aime observer l'amour sous toutes ses formes.

Un peu plus

C'est cette peur presque irrationnelle d'oublier qui m'a amené à faire ce magnifique métier. Capturer vos familles, votre couple, ce grand jour, vos souvenirs pour ne rien oublier! Ces images que vous garderez et regarderez précieusement et que vos enfants hériteront un jour. Parce que la mémoire de ces visages, de ces mimiques, de ces regards et gestes s'estompe doucement, mais les images restent aussi longtemps qu'elles seront observées.

 

J'aime

 

Le crépitement du feu, marcher pieds nus dans l'herbe, boire une bonne bière, entendre les rires, lire (quand je prends le temps de le faire), les balades en forêt, trainer au lit, regarder le lave-linge tourner, écouter les oiseaux, les ginkgos, les matins un peu brumeux, observer les gens heureux. J'aime leurs odeurs. J'aime aimer et être aimer. J'aime la gentillesse et la bienveillance. J'aime observer l'amour sous toutes ses formes.

Ma vision de la photographie vous parle ?